Votre Oustadha Zaynab applique enfin ses propres conseils et sera en congé du 8 juillet au 31 août. Pendant cette période, je prends le temps de me reposer pour revenir avec une meilleure énergie. Seules les demandes et les mails concernant la formation "Coran de ma vie" seront traités par mon équipe. À très bientôt, insha'ALLAH.

Questions autour du Coran

Temps de lecture estimé : <1 min.

Chaque jour, je reçois beaucoup de messages. D’ailleurs, j’en suis ravie, al hamdoulilah. Je me rends compte que 40 % de ces messages, tous réseaux confondus, sont des questions. Qu’elles soient sur l’apprentissage, sur la relation avec le Coran, ce sont des interrogations diverses en rapport avec le Coran. Alors, je me suis dit que je pourrais consacrer des épisodes de podcast, et des articles, de temps en temps, pour répondre à ces questions autour du Coran. Je te propose aujourd’hui 3 grandes questions que j’ai reçues.

Sommaire

Le verset qui a motivé l’épisode de jour

Ta-Ha.

Nous n’avons point fait descendre sur toi le Coran pour que tu sois malheureux.

Sourate Ta Ha, 1 & 2

Il est important de toujours garder un fil conducteur. C’est pourquoi, même pour cet article de réponses à des questions, je me devais de vous partager cette ayah.

Comment ne pas me sentir submergée dans mon apprentissage du Coran ?

C’est une question très légitime qui s’est posée pour beaucoup d’entre nous. Souvent, on débute l’apprentissage du Coran avec un certain rythme et à un moment donné, on devient complètement submergée.

Tout d’abord, je répondrais à cette question avec la ayah qui a motivé cet article. Le Coran n’a pas été révélé pour que l’on soit malheureux. Il n’a pas été révélé pour être une charge, un poids ni pour être une difficulté dans notre vie. C’est même l’inverse !

Réalise que ce n’est pas une charge

C’est la première chose à se dire lorsqu’on parle d’apprentissage. Il est important de pouvoir trouver de la joie, du plaisir à apprendre. Je disais souvent cette phrase à mes élèves :

Un jour où tu mémorises un nouveau verset, même un seul, c’est un jour que tu dois considérer comme un jour de fête. C’est un jour où Allah ﷻ t’a offert l’opportunité d’apprendre, de mémoriser Sa propre parole.

Une parole révélée par Allah ﷻ, qui entre dans ton cœur, parce que tu l’auras mémorisé par cœur. Ce n’est pas rien ! Ça me fait penser à une ayah où Allah ﷻ dit :

إِنَّا نَحْنُ نَزَّلْنَا ٱلذِّكْرَ وَإِنَّا لَهُۥ لَحَٰفِظُونَ

Nous avons révélé le dhikr, le rappel et Nous en sommes les gardiens.

Sourate 15, verset 9

En d’autres termes, quand tu mémorises du Coran, tu conserves ses ayat à l’intérieur de toi. Allah ﷻ a dit qu’Il est le gardien du Coran. Donc il préserve tout ce qui contient du Coran. Ainsi, vu que le Coran que tu auras mémorisé est à l’intérieur de toi, Il te donne Sa parole qu’Il va te préserver. Dans ce cas, veille à le garder dans ton cœur et non seulement dans ta langue.

Il y a malheureusement une catégorie de personnes qui ont mémorisé du Coran, parfois même beaucoup, mais celui-ci s’arrête à leur langue, il ne descend pas dans leur cœur. Ils n’ont pas appris le Coran avec la bonne intention. En effet, ils l’ont appris par exemple dans le but d’obtenir des faveurs des gens, de ce bas monde, ou dans le but que les gens puissent dire qu’ils ont mémorisé le Coran, etc. Qu’Allah ﷻ nous préserve de cette catégorie.

Si tu gardes dans le cœur ce que tu as mémorisé du Coran, sache qu’Allah ﷻ te préserve, en tant que Gardien du Coran. Un verset suffit à s’approcher de cette faveur.

Tu comprends maintenant pourquoi je dis qu’un jour où tu as mémorisé un verset est comme un jour de ‘Id.

Prends conscience que ce n’est pas une course

On est submergés lorsqu’on se sent pressé, oppressé, qu’on a peur, qu’on se sent en retard. Sauf qu’avec la mémorisation et l’apprentissage du Coran, il n’y a pas de timer. Personne n’a dit qu’il fallait apprendre tant de versets en un temps imparti. Personne n’a dit qu’il fallait se mettre une pression plus que de raison ou qu’il fallait être plus rapide que les autres.

Alors, je suis submergée par rapport à qui ? Mon Coran n’est-il pas censé être mon compagnon de vie ? N’est-il pas censé être un vecteur de bonheur, de bien-être, de guidance dans la vie ?

Ainsi, pour pouvoir résoudre ce problème, il est très important de se poser des questions importantes :

  • Comment je me sens lorsque j’apprends le Coran ?
  • Quelles sont les raisons pour lesquelles je me sens submergée ?
  • Est-ce que j’apprends trop par rapport au temps dont je dispose ou mes capacités ?
  • Est-ce que je respecte mon profil d’apprentissage ?
  • Suis-je dans une classe où il y a beaucoup de concurrence ?
  • Est-ce que j’apprends pour les bonnes raisons ?
  • Ai-je peur de mon professeur ?

Ces questions, c’est à toi d’y répondre. Ce n’est donc pas une course, tu l’auras compris.

Demande à Allah ﷻ de t’apaiser et te faciliter l’apprentissage du Coran

C’est la meilleure chose à faire après avoir identifié le problème et les raisons pour lesquelles tu te sens submergée. Souviens-toi qu’Il est l’Auteur de ce Livre. En effet, quoi de plus efficace et logique que de demander directement à l’auteur de t’ouvrir les portes de Son œuvre, de Sa parole.

Quelques conseils supplémentaires

Il faudra sûrement faire preuve d’un peu plus de créativité. Par exemple :

  • Travaille avec un binôme qui a un peu le même mode de fonctionnement que toi.
  • Revois la quantité de versets que tu mémorises par jour, par séance.

En d’autres termes, pour que tu puisses répondre à cette question, c’est finalement une question de mindset, d’état d’esprit. Dans quel état d’esprit tu te trouves au moment où tu apprends ?

Comment renouer avec mon Coran après une longue interruption ?

Ne serait-ce que dans la tournure de la question, on sent que la personne voit cela comme une véritable relation. En effet, on parle de « renouer » et d’« interruption ».

Parfois, j’ai même des personnes qui parlent de « renouer après une rupture » en évoquant le Coran ! On a vraiment l’impression d’une relation avec son compagnon et l’on essaye de recoller les morceaux.

Vois ton Coran comme ton meilleur ami

C’est une métaphore que j’emploie souvent. Qu’est-ce que tu ferais si tu souhaitais renouer avec ta meilleure amie après une longue période de rupture ? Comment tu te comporterais avec elle, après avoir passé un long moment sans se parler, sans prendre de nouvelles ?

Tu prends la décision de revenir auprès de cette personne, tu t’es rappelé que tu avais besoin d’elle dans ta vie. Tu as besoin de renouer avec elle. Comment tu fais ?

  • Est-ce que tu débarques sans prévenir ?
  • Viens-tu avec un cadeau ?
  • Vas-tu lui demander pardon d’emblée ?
  • Est-ce que tu vas te justifier ?
  • Est-ce que tu vas éprouver du regret ?
  • Vas-tu t’engager, sincèrement, à ne plus te mettre dans ce genre de situation ?

Si tu te projettes avec ta meilleure amie, ça va t’aider avec le Coran. En effet, tu as tout intérêt à voir ton Coran comme ton meilleur ami. Ainsi, la relation va se mettre en place, et que le retour dans cette relation soit plus fluide.

Cependant, le Coran n’est semblable à aucun autre compagnon que tu auras. Ce n’est pas un compagnon rancunier qui risque de t’en vouloir, qui va te fermer la porte si tu reviens après longtemps. Finalement, dans ta relation avec le Coran, le seul qui est gagnant ou perdant, c’est toi.

Si tu l’abandonnes, tu t’abandonnes toi-même. Si tu noues une relation solide avec ton Coran, c’est à toi que tu fais un cadeau. Dans toutes les situations finalement, c’est toi que tu nourris, ou c’est toi que tu affames.

Pour la demande de pardon, bien évidemment que tu t’adresses directement à Allah ﷻ. Et n’oublie pas que les portes de Sa rahma sont grandes ouvertes lorsqu’on Lui demande pardon. Demande pardon, et Il accepte, avec certaines conditions, parmi elles :

  • regretter,
  • avoir sincèrement l’intention de ne plus revenir dessus.

Demander pardon à Allah ﷻ, c’est une très belle introduction de toute invocation que tu Lui ferais.

Tu auras la belle surprise de découvrir que lorsqu’on demande pardon à Allah ﷻ, il y a de magnifiques choses qui arrivent. C’est ton Coran qui t’en fait la promesse.

Identifie les causes de cette longue interruption

Qu’est-ce qui a fait que tu as interrompu ta relation avec le Coran aussi longtemps ? Que s’est-il passé ?

  • Des évènements de vie ?
  • Est-ce que tu étais très fatiguée ?
  • Apprenais-tu une trop grosse quantité ?
  • Tu n’as plus ton professeur ?
  • Tu n’es plus en relation avec les amies avec lesquelles tu apprenais ?
  • Etc.

C’est important d’identifier les raisons pour te rendre compte des bases sur lesquelles ta relation avec le Coran s’est établie. Est-ce que ces fondements étaient solides et légitimes ?

Reviens doucement

Ça ne sert à rien de revenir en force, de vouloir tout de suite consacrer 10 h par jour à l’apprentissage, comme pour rattraper le temps perdu. Non. Il faut y aller par paliers.

Repense alors à la métaphore de la meilleure amie. Ce n’est pas parce que vous vous reparlez que tu vas aller la voir tous les jours, que tu vas rester 5 h ou 10 h de temps chez elle à lui demander de te raconter tout ce que tu as manqué.

Ce n’est pas parce qu’il y a eu une interruption dans une chose qu’on peut rattraper cette interruption de manière immédiate.

J’aime aussi l’image d’une personne qui resterait 5 jours sans manger. Lorsqu’elle reprend, elle ne peut pas, en une journée, ingurgiter ce qu’elle aurait dû manger en 5 jours. Elle va manger, mais comme elle l’aurait fait habituellement, trois repas quotidiens avec éventuellement des encas.

C’est la même chose avec le Coran. Vas-y doucement. Peut-être que dans un premier temps il faudra même faire moins de quantité que ce que tu faisais avant d’interrompre ton apprentissage.

Le but, c’est d’identifier quel a été le problème. Si tu reprends les mêmes habitudes qu’avant, tu risques de réitérer cette situation de rupture. Ça serait très dommage. Rappelle-toi encore la ayah qui a inspiré cet article. Le Coran n’a pas été révélé pour que tu sois malheureuse. Au contraire, le Coran est le compagnon de toutes les situations, même les plus difficiles. C’est la parole d’Allah ﷻ, donc c’est Allah ﷻ qui te parle et qui te donne la solution divine.

Reprends goût

Ça passe non seulement par le fait de revenir doucement, mais tu peux aussi avoir d’autres méthodes :

  • L’écoute de tafsir sur les sourates que tu aimes
  • L’écoute de Coran avec ton récitateur préféré
  • Faire de la lecture, à ton rythme
  • L’écoute de conférences qui parlent des beautés du Coran
  • L’écoute du podcast Coran de ton cœur !

En résumé, fais des choses en rapport avec ton Coran, qui te font du bien. Rappelle-toi ce qui t’a amené vers le Coran au début. Reprends cela et ça t’aidera à reprendre goût à la relation.

Qu’Allah ﷻ facilite à toute personne dans sa relation avec le Coran, dans son apprentissage.

Puis-je apprendre et comprendre le Coran, seule, en autodidacte ?

Autodidacte, vraiment ?

C’est une question que j’ai reçue plusieurs fois. Pour tout apprentissage d’une science ou d’une matière, c’est vrai qu’il y a toujours la possibilité d’être en autonomie. C’est-à-dire que la personne va elle-même se procurer des livres pour son apprentissage.

De nos jours, il est possible de tout apprendre seule : avec internet, des livres, des vidéos, etc. Il y a beaucoup de choses qu’on peut apprendre sans l’assistance d’un professeur. Quel que soit le mode que tu utilises pour apprendre quoi que ce soit, le 100 % autodidacte n’existe pas selon moi.

En effet, les vidéos sur le Coran que tu regardes ont été faites par quelqu’un. Le livre que tu lis sur le Coran a été écrit par quelqu’un. La récitation que tu écoutes afin de répéter pour apprendre le tajwid en autodidacte, c’est la récitation de quelqu’un.

Tu l’auras compris, tout ce que tu vas apprendre et découvrir sur le Coran aura été traduit, expliqué et transmis par quelqu’un. Même si cette personne n’est pas un professeur attitré, que tu vois, à qui tu peux demander des choses.

Le Messager, lui-même élève

Pour te motiver encore plus dans cette importance d’être accompagnée, et ne pas vouloir à tout prix être autodidacte avec le Coran, pense au Prophète ﷺ lui-même.

Il a eu un professeur, le « capitaine des Anges », comme j’aime le décrire quand je parle aux enfants, Djibril (qu’Allah soit satisfait de lui). Il a été mandaté par Allah ﷻ.

Allah ﷻ, qui a enseigné le Coran comme Il l’a dit dans la sourate Ar-Rahman :

ٱلرَّحْمَٰنُ

عَلَّمَ ٱلْقُرْءَانَ

Sourate Ar Rahman — Versets 1 et 2

C’est Lui qui a enseigné le Coran. À qui ? À tous ceux qui souhaitent s’approcher du Coran. C’est une sorte de classe ouverte. Il n’a pas dit à qui Il l’a enseigné. Djibril a été mandaté par Allah ﷻ pour transmettre le Coran à Son Prophète, le dernier des Prophètes, Son bien-aimé Muhammad ﷺ.

Donc déjà, lorsqu’on s’oriente vers l’apprentissage du Coran, on sait qu’on a déjà le Prophète ﷺ comme professeur, par sa sunna et par toutes les mentions qui sont faites de lui dans le Coran. On sait que lui-même a eu comme professeur Djibril.

D’ailleurs, ce dernier descendait tous les ans, en plus des révélations régulières, pour faire une sorte de révision générale avec le Prophète ﷺ. Lui, sur qui le Coran avait été révélé, qui n’oubliait pas et avait énormément le souci de ne pas perdre quoi que ce soit du Coran qui était contenu dans son cœur.

Apprendre avec un enseignant : une sunna

Djibril a eu comme Maitre suprême Allah ﷻ. Et nous savons qu’Il est celui qui a enseigné le Coran, le Grand Enseignant, son Auteur. Et qui mieux que Lui peut parler de Sa Parole ?

Ces étapes, ces intermédiaires, dans la transmission du Coran, nous inculquent que tout apprentissage se fait auprès de plus savant que soi dans un domaine.

Allah ﷻ aurait pu révéler directement le Coran sur Son Prophète ﷺ sans passer par Djibril, Son Envoyé parmi les Anges. Il aurait pu, mais il a mis un intermédiaire, comme pour nous apprendre que le Coran est quelque chose de solennel. Nous apprendre également ce que c’est d’être élève d’un enseignant.

J’aime beaucoup dire qu’un apprentissage se fait par un apprenti sage. Un apprenti qui a la sagesse :

  • d’écouter son enseignant,
  • de s’assoir auprès de lui,
  • de patienter en attendant ses enseignements,
  • de questionner pour comprendre ce que lui transmet son enseignant,
  • de répéter après lui,
  • de restituer l’information pour montrer qu’il a compris
  • de le remercier.

Toutes ces étapes sont très importantes dans l’apprentissage, dans la relation avec le Coran. Apprendre à être élève fait partie intégrante de la relation avec le Coran. J’ai presque envie de dire que si tu ne sais pas être élève, tu ne sauras pas interagir avec le Coran. Tu ne sauras pas établir correctement une relation avec le Coran.

Les avantages à être encadrée

Un enseignant, c’est celui qui te fera part de son expérience. C’est quelqu’un qui est passé par ce par quoi tu passes actuellement. C’est quelqu’un qui a de la sagesse, qui te soutiendra, qui sera ton meilleur supporter, qui sera un mentor, qui saura te conseiller. Aussi, un enseignant, c’est quelqu’un que tu admires et que tu respectes. Lorsqu’il parle du Coran, ton amour pour le Coran augmente. Tout ça, tu ne peux pas l’avoir en étant autodidacte.

Même si, être autodidacte n’est pas tout à fait possible comme je te l’ai dit. On est toujours encadré, même si c’est indirectement. En effet, tu es encadrée par la personne dont tu lis le livre, écoutes la conférence, etc. La seule barrière qu’il y a finalement, et c’est là où l’on peut considérer que c’est en autodidacte, c’est que si tu te trompes, il n’y aura personne pour te corriger. Si tu répètes après ce récitateur pensant l’imiter correctement pour travailler ton tajwid, ce professeur ne pourra pas t’arrêter et te dire tes erreurs, tes approximations, te reprendre sur la position de la langue, etc.

Tu as besoin d’un enseignant pour accomplir cette tâche. Tu ne peux pas t’autocorriger, sinon tu ne serais pas élève. En effet, tu ne peux pas solliciter l’imam derrière lequel tu récites, ou questionner l’auteur d’un livre, etc. Tu peux seulement te contenter de ce qui est à ta portée, et rester avec tes questions, si tu en as. Pour répondre à cette question « puis-je apprendre et comprendre le Coran en autodidacte », tu peux tout apprendre sans enseignant à côté de toi, mais tu perdras beaucoup de matière et surtout tu risques d’abandonner une sunna prophétique.

Le Prophète ﷺ a été élève avant d’être enseignant du Coran. Ainsi, ça serait dommage de chercher à faire le contraire, de se priver de cette sunna, de penser qu’on pourrait faire différemment du Prophète ﷺ et être heureux dans ce domaine. Après tout, avoir une enseignante, un enseignant, c’est avoir quelqu’un à qui parler, à qui poser des questions, à qui faire part de tes blocages, de tes difficultés. Un enseignant qui pourra t’épauler et te conseiller. Qui voudrait se priver de ça ? Un enseignant qu’on perd ou que l’on a plus ou dont on s’est éloigné, c’est comme devenu orphelin. On n’a plus personne à qui poser les questions, jusqu’à la retrouver ou en trouver une autre.

Avant de terminer ces questions autour du Coran

J’ai été ravie de répondre à quelques questions autour du Coran. Ainsi, je pense que je consacrerai de temps à autre des épisodes de podcast et des articles uniquement pour répondre à des questions. D’autres questions pourront être abordées lors d’une prochaine session de questions/réponses. Alors, si tu souhaites en poser une, c’est par ici !

Qu’Allah ﷻ nous offre la bonne compagnie des gens du Coran, ces gens qui font du Coran un moteur dans leur vie, qui le lisent, qui le comprennent et qui le transmettent avec amour et bienveillance.

Salam aleykoum wa rahmatullah

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